Adieu nom d’utilisateur !

janvier 13, 2009

Je te propose une réflexion autour d’un vieil ami : le nom d’utilisateur (ou username).

En résumé:

Hier – Héritage de l’ère pré-Internet:
nom d’utilisateur
= 1. identifiant unique de l’utilisateur
= 2. nom qui sera publié (alias ou pseudo)

Aujourd’hui – réseaux sociaux:
1. email = identifiant unique de l’utilisateur
2. prénom + nom de famille (facultatif) = nom à publier

Je crois que le nom d’utilisateur nous vient d’une autre époque, où on avait besoin d’un nom pour identifier de manière unique les utilisateurs. Aujourd’hui avec l’email, chaque utilisateur a déjà un identifiant unique, dont il se souviendra facilement, ce qui fait qu’il n’est plus nécessaire de s’en inventer un nouveau.

En outre, lorsqu’on demande à l’utilisateur de s’inventer un nom, on l’incite à s’identifier par un pseudo, au lieu de se présenter par son nom civil (par exemple sur delicious, où on m’a demandé de me choisir un nom d’utilisateur, je suis pacofranzo, pas françois, ni frans, ni françois derbaix). L’usage des pseudos ou alias rend alors presque impossible l’identification d’une personne sur ce site par les autres utilisateurs, ce qui est préjudiciable dans le cas des réseaux à dimension sociale, dont le but est justement de mettre les utilisateurs en contact.

En d’autres termes, sur le web comme dans la vraie vie :

  • « Bonjour, comment tu t’appelles? »
    et pas « Salut, quel est ton pseudonyme? »
  • « Bonjour, quelle est ton adresse email ? »
    et pas « Salut quel est ton identifiant ? »

Certains sites ont déjà abandonné le nom d’utilisateur
Voir la page d’inscription sur Facebook
Voir la page d’inscription sur Myspace
Voir la page d’inscription sur Amazon
– La nouvelle version de Toprural (bientôt en version bêta)

D’autres continuent à utiliser le nom d’utilisateur
Voir la création de compte sur delicious
Voir la création de compte sur Youtube
Voir la création de compte sur dailymotion
Voir la création de compte sur wikipedia
Voir l’actuelle création de compte sur Toprural

À l’avenir, je pense qu’on devrait assister petit à petit à la disparition du nom d’utilisateur au bénéfice du nom civil sur les sites qui veulent encourager la prise de contact entre utilisateurs. Sauf les sites pour qui la préservation de l’anonymat de leurs utilisateurs est un choix. Sur Toprural par exemple, nous allons faire l’expérience : sur la nouvelle version, il n’y a plus besoin de nom d’utilisateur.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

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Ma grand-mère à la TV

janvier 9, 2009

Lors de notre passage à Bruxelles pour les fêtes j’ai eu l’occasion de voir un petit documentaire sur ma grand mère qui est passé à la RTCB (Radio Télévision Catholique Belge) le 4 novembre 2008. L’émission traite de la vieillesse et de comment bien vieillir. Ils ont choisi l’exemple de ma grand mère (Monique Bonaert-Hanquet, alias Mamy) pour illustrer le sujet. Mamy est comme le bon vin, elle mûrit et bonifie avec l’âge ;)

Vidéo disponible sur Dailymotion

Vidéo disponible sur Dailymotion

Je crois qu’il l’ont choisie pour illustrer le sujet parce que c’est une dame agée de 84 ans, mais jeune d’esprit, qui en plus vit entourée de jeunes dans une ville universitaire. Ces 10 minutes de film m’ont beaucoup plu. C’est sympa de voir sa grand-mère à la TV, et ça m’a permis de la connaître un peu mieux, sous un autre angle.

Même s’il est teinté de religion et de foi je crois que le film pourra plaire même aux non-croyants (comme moi).

Quelques passages choisis:

  • Ma devise que j’ai choisie quand j’avais 15 ans est « Servir volontiers et joyeusement ». Ça me colle toujours à la peau.
  • Ce n’est pas la mort qui me gêne mais de laisser ceux qui restent ici.
  • Quand je ne serai plus utile peut-être que je serai contente de rejoindre mon mari et ceux qui m’ont précédés.
  • Avant on ne lisait pas pendant la journée. Lire ce n’était pas faire quelque-chose. […] Les mentalités changent.

Voir le film (5 minutes, sur Dailymotion.com)

Petite observation: le film donne l’impression que toutes les activités de ma grand-mère se sont faite le même jour mais en réalité ça correspond à ses activités hebdomadaires, par d’un seul jour.

Bonne année 2009!!

décembre 23, 2008

Je te souhaite une bonne et heureuse année 2009 :)

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Carte de voeux 2009 de Toprural

La vignette nous vient d’Argentine de la main de Bernardo Erlich. Tu peux également voir les autres dessins de Erlich pour Toprural sur le blog de Toprural.

Note culturelle: Toprural n’est d’aucune religion nous préférons souhaiter une bonne année plutôt que un joyeux Noël. Nous te souhaitons également de joyeuses fêtes ;)

Confusion entre les drapeaux et les langues

décembre 22, 2008

Certains sites Internet utilisent encore les drapeaux pour symboliser les langues. On a l’habitude de voir un drapeau français comme icône pour changer la langue de navigation d’un site vers le français, un drapeau espagnol pour l’espagnol, un drapeau allemand pour l’allemand, etc.:

  • SNCF: drapeaux-sncf-19dec08
  • Seloger: drapeaux-seloger-19dec08
  • Gîtes de France: drapeaux-gdf-19dec082
  • Homelidays: drapeaux-homelidays-18dec08
  • Abritel: drapeaux-abritel-19dec08
  • Rentalia.com (dont je suis actionnaire): drapeaux-rentalia-19dec081. Je n’ai pas encore réussi à convaincre Marta de ne plus utiliser les drapeaux.
  • Et beaucoup d’autres encore, surtout des sites de tourisme d’hôtels, de gîtes, de chambres d’hôtes, de maisons de vacances, etc.

Je crois que c’est une erreur, non seulement parce-que ce n’est pas correct (pays <> langue), mais surtout parce-que beaucoup d’utilisateurs d’une langue sont d’un autre pays que celui symbolisé par le drapeau.

Avec un drapeau français pour symboliser le français je risque de déranger les francophones de Belgique, de Suisse, du Québec, etc. Avec un drapeau allemand pour symboliser l’allemand j’oublie les Autrichiens et les Suisses germanophones. Avec un drapeau des Pays-Bas pour symboliser le néerlandais j’exclus les flamands. Avec un drapeau español pour symboliser l’espagnol j’oublie les 300 millions d’hispanophones d’Amérique Latine, pour qui le drapeau espagnol n’est pas leur symbole. Et j’en passe (le drapeau portugais laisse dehors le Brésil, le drapeau anglais laisse dehors les américains, irlandais, australiens, etc.).

L’inverse est aussi vrai: certains Français qui se reconnaîtront dans le drapeau français, parlent néanmoins une autre langue (comme certains alsaciens parlent allemand par exemple), de nombreux italiens parlent allemand, de nombreux espagnols parlent catalan, etc.

En résumé: drapeau = pays, pas langue

Pour symboliser une langue il est préférable d’utiliser son nom en toutes lettres dans la langue indiquée ou l’abréviation ISO correspondante, en minuscules (les majuscules s’utlisent pour les pays).

Quelques exemples de sites qui n’utilisent pas (ou plus) les drapeaux pour symboliser les langues:

  • Google.fr inclut l’option « Google.com in English »
  • Flickr en français inclut les options « 繁體�文 | Deutsch | English, etc. »
  • Skyrock inclut les options « Français | English | Deutsch, etc. »
  • Toprural (dont je suis actionnaire) en français inclut les options « Català | Deutsch | English, etc. »
  • Vinogusto (dont je suis actionaire) en français inclut les options « English | Español | Français, etc. »

¿Alors, drapeaux ou pas drapeaux pour les changements de langue?

Autres articles:

Le saladier porte de machine à laver

décembre 16, 2008

Beaucoup d’objets peuvent retrouver une utilité et débuter une 2e vie après la première.
Un exemple que j’adore, parce qu’on change totalement le point de vue sur l’objet, c’est le saladier-porte de machine à laver : l’utilisation qu’on fait de la porte est clairement différente de sa fonction première !

Saladier porte de machine à laver

Photo de la porte de la machine à laver:
Imagen 016

Quand on parle d’écologie, on parle beaucoup de recyclage mais je crois que par moment on perd de vue le véritable objectif. Ce n’est pas le recyclage en soi qui est bien, recycler n’est qu’un moindre mal. Ce qu’il faut c’est protéger la planète et nos éco-priorités sont bien les suivantes :
1. Réduire la consommation et la production de déchets
2. Récupérer les déchets qui peuvent l’être et les réutiliser
3. Recycler ceux qui ne peuvent être réutilisés.

Quelques liens:

TheBigAsk.be

décembre 14, 2008

Vidéo-pétition contre le réchauffement global. ¡Je participe!

Vidéo-pétition TheBigAsk.be:

Nous avons besoin d’une législation stricte autour du climat, la Belgique est l’un des plus mauvais élèves de la classe dans cette matière, et en reste au stade des vaines promesses et des demi-mesures. Entre temps, au Royaume-Uni, une loi climatique a été adoptée. Aidez-nous à faire en sorte que cela arrive ici aussi.

Le 10 Août, plus de 6.000 personnes ont participé au tournage du vidéoclip “The Big Ask” à Ostende, une prestation unique, entièrement portée par des bénévoles (toute l’équipe du tournage, la maison de production, les compositeurs Alex Callier et Cédric Murrath de Hooverphonic, l’intendance, les figurants, …). A présent, le moment est venu de dévoiler le résultat au monde entier et de le partager avec tout le monde!

Visionnez donc notre vidéoclip sur cette page. Ensuite, faites quelque chose, ACT NOW!

Confrontez les décideurs politiques aux faits. Envoyez ce clip à vos amis, votre famille, vos connaissances et collègues. Signez la pétition-vidéo et demandez-leur de faire de même.

Criez aussi fort que vous le pouvez, gueulez même dans le train, au travail et au milieu de la rue : ACT THE F*CK NOW!!! (Il est temps d’agir, b*rdel !!)

Cette campagne est menée simultanément dans pas moins de 17 pays. Et la boule de neige ne cesse de grossir, avec votre aide … assez de blabla, il est temps d’agir!

Plus d’info sur www.thebigask.be

Quand le client n’est pas le roi

décembre 1, 2008

Dans le modèle client-fournisseur classique les choses sont claires : l’un paye (le client) et celui qui vend (le fournisseur) lui doit en retour le meilleur service possible. Le client est roi.

client-fournisseur

Dans le secteur publicitaire, le modèle est différent et cette règle ne s’applique pas. Le support publicitaire a des clients-annonceurs qui payent pour que leur publicité soit visible aux yeux du public. Là où les choses se compliquent, c’est que les intérêts des annonceurs et du public divergent. Le support doit faire un arbitrage entre la satisfaction de deux groupes de personnes aux intérêts distincts: ses annonceurs et son public, ses utilisateurs.

Que faire en cas de conflit d’intérêt entre ces deux groupes ? Qui doit-on satisfaire en priorité ? L’annonceur qui est le client et qui paye ou l’utilisateur qui profite gratuitement du support ?

annonceur-support-utilisateur

L’utilisateur prime, indépendamment de qui paie le service.

Le succès à long terme dépend de l’utilisateur, du public cible du support, et non de l’annonceur.

Le cas de la télévision : tout est bon pour faire de l’audience.

Prenons un exemple peut-être plus facile à comprendre : la télévision. Les chaînes vivent de la publicité des annonceurs. Pourtant, le facteur clé de succès c’est l’audimat, le public de la chaîne, qui pourtant regarde la télé gratuitement. Mais, plus une chaîne a d’audimat, plus elle aura d’annonceurs disposés à payer plus cher pour placer leurs publicités aux moments de plus grande audience. Sans audimat, pas de publicité, pas de rentrées d’argent.

Le cas de Toprural et la publication d’opinions non censurées

Dans le cas de Toprural, les propriétaires de gîtes et chambres d’hôtes sont les annonceurs. Ils payent un abonnement pour apparaître sur le site. Et beaucoup d’entre eux disent que ce sont eux qui nous font vivre et qu’en tant que tels, ils devraient être traités comme des clients-rois.

Mais, qui fait vivre ces gîtes et ces chambres d’hôtes ? Si Toprural ne leur apportait aucune visite, les propriétaires souhaiteraient-ils payer pour placer leur logement sur le portail ? Si nous sommes sûrs d’une chose depuis le début, c’est que nous devons nous efforcer de satisfaire les voyageurs.

Certains propriétaires nous posent la question suivante : « Pourquoi je payerais une publicité sur un site où je peux me faire descendre par le premier venu ? ». Ce à quoi nous répondons qu’une censure des opinions reviendrait à mécontenter le voyageur, c’est à dire leur client. Et si le client est insatisfait, au bout du compte, celui qui en pâtira, c’est le gîte ou la maison d’hôtes, et donc le propriétaire lui-même.

Pour nous c’est clair : la satisfaction de nos annonceurs-propriétaires passe par la satisfaction de nos utilisateurs-voyageurs.

On peut aussi le voir ainsi : les voyageurs viennent sur Toprural parce qu’ils savent qu’ils vont y trouver facilement un logement rural qui corresponde à leurs envies, avec des opinions d’autres voyageurs, non censurées. Les annonceurs payent Toprural parce qu’ils savent que les voyageurs utilisent le site. Sans voyageurs, aucun propriétaire ne payerait pour s’annoncer, et pas le contraire. Il est vrai aussi que s’il n’y avait aucun gîte sur le site, les voyageurs ne viendraient pas, mais ce point se règle facilement : il suffit de commencer par publier gratuitement des milliers de logements. Et de fait, c’est ainsi que Toprural a commencé en France avec des milliers de logements publiés gratuitement.

En conclusion, je dirais que c’est bien ce qui caractérise notre secteur : nous ne parlons pas de clients mais d’annonceurs et d’utilisateurs, de propriétaires et de voyageurs. Et le roi, c’est le client de notre client : l’utilisateur.

Toprural cesse d’investir en Adwords

novembre 26, 2008

En 2005, nous avons démarré Toprural en France. Afin d’accélérer notre croissance sur ce nouveau marché, nous avons accompagné ce lancement d’une ambicieuse campagne de publicité sur les moteurs de recherche. Après quelques mois d’essai avec Google Adwords, Overture (devenu entretemps Yahoo Search Marketing) et Miva, nous nous sommes décidés pour le premier, et avons concentré notre campagne publicitaire sur Adwords, qui nous donnait les meilleurs retours.

De fin 2005 à juillet 2008, nous avons investi jusqu’à 200.000€ par an pour promouvoir Toprural sur les moteurs de recherches en français. Cet budget a représenté jusqu’à 5% de notre chiffre d’affaires total et 100% de notre chiffre d’affaires sur la France.

Nous avons mis en place un suivi des visites émanant de la publicité, en nous basant sur le nombre de mails qui en découlaient. Nous nous sommes aperçus que le taux de conversion de ces visites achetées en prise de contact avec les propriétaires de logements ruraux était très bas, et avons estimé notre retour sur investissement à 50% : chaque euro investi dans la publicité sur Google nous rapporte 0,5€. En d’autres termes, nous sommes perdants : pour 1€ investi nous perdons 50 centimes.

Google a créé un marché tellement efficace que les prix s’alignent sur les annonceurs qui sont disposés à investir le plus (même si ce doit être à perte). Les marges des annonceurs se réduisent et les marges de Google augmentent.

Nous nous sommes aussi aperçus que ces visites achetées non seulement étaient de mauvaise qualité (elles génèrent peu de mails) mais qu’en plus les internautes venus par le biais de Adwords sont un public peu fidèle. Les visiteurs qui proviennent de la publicité sur les moteurs de recherches sont des visiteurs « vendus » à la publicité. Ils viennent chez nous aujourd’hui, grâce à l’annonce, mais iront chez un autre demain, grâce à une autre annonce. Nous avons beaucoup investi pendant 3 ans dans Adwords et nous n’avons pas constaté que ces visites achetées se convertissaient en visites naturelles vers Toprural à long terme.

C’est pourquoi, depuis cet été, nous réduisons progressivement notre budget Adwords : nous diminuons notre budget SEM (Search Engine Marketing) de 3.000€ tous les mois, pour passer de 18.000€ en juillet 2008 à 3.000€ en décembre et le maintenir entre 0 et 3.000€ (à voir) par la suite.

Investissement Toprural France en Adwords 2008

Investissement Toprural France en Adwords 2008

Le problème que pose cette sortie c’est qu’il est très difficile d’arrêter une campagne active. Les annonceurs de Toprural (les logements ruraux référencés sur notre site) se sont habitués à voir nos annonces publicitaires en première page des recherches sur Google en France. Ils ne souhaitent surtout pas que cela change et insistent pour que nous continuions d’investir dans la publicité. Il nous faut aussi compenser les visites achetées par des visites naturelles, issues de positionnement naturel sur Google et de la fidélisation des utilisateurs. La publicité sur Adwords provoque une dépendance : il est très facile de commencer mais très difficile d’en sortir.

Pour compenser, nous avons décidé d’investir à fond dans le contenu. En ce moment, nous référençons tous les mois près de 2.000 nouveaux logements en France (nous avons déjà plus de 19.000 logements ruraux en France) à qui nous permettons de publier un nombre illimité de photos et de vidéos. Afin d’améliorer constamment l’information publiée sur chaque fiche de logement, nous incitons les propriétaires à ajouter des vidéos et nous organisons des concours pour inciter les voyageurs à publier leurs opinions et leurs photos.

Dans les autres projets dont je suis actionnaire, je recommande de réduire autant que possible la dépendance aux campagnes de publicité et de concentrer au maximum les efforts sur la qualité du service fourni et des contenus. La publicité est un très bon moyen de générer rapidement beaucoup de trafic (à condition d’avoir un bon budget) mais elle ne contribue pas à développer une position de leadership à long terme.

Vinogusto nº3 mondial en audience

novembre 18, 2008

Au vu du nombre de visites obtenues en octobre 2008, Vinogusto (portail dont je suis actionnaire) se confirme comme 3e mondial dans la liste des portails spécialisés dans le vin, juste après winesearcher.com et devant Verema.com.

Depuis son lancement en 2007, la popularité de Vinogusto.com a grandi de mois en mois, jusqu’à atteindre et même dépasser presque tous ses prédecesseurs.

Comparaison Google Trends - 18nov08

Comparaison Google Trends - 18nov08

D’après ma liste perso et les données de Google Trends, les sites de vins les plus visités sont :

  1. wine-searcher.com (moteur de recherche de vins, leader mondial)
  2. verema.com (communauté, leader en Espagne)
  3. vinogusto.com (réseau social y moteur de recherche de vins, nº3 mondial)
  4. wine.com (vente en ligne, leader aux États-Unis)
  5. cellartracker.com (outil de gestion et communauté, États-Unis)
  6. snooth.com (réseau social et moteur de recherche de vins, leader aux États-Unis)
  7. winelibrary.com (vente en ligne, États-Unis)
  8. 75cl.com (vente en ligne, France)
  9. 1855.com (vente en ligne, France)

Source: mon Delicious de webs de vins + Google Trends for Websites (voir comparaison des 5 premiers portails). Si vous constatez qu’un site d’audience comparable ou supérieure sur Google Trends a été oublié, n’hésitez pas à me le signaler.

Plusieurs éléments expliquent selon moi le succès de Vinogusto :

Ces éléments me paraissent déterminants et je pense que si Vinogusto continue sur cette voie, le site pourrait rapidement devenir le leader des sites internet dédiés au vin.

Remarque : pourquoi utiliser Google Trends plutôt que Alexa ?
Pour comparer les sites en plusieurs langues et dans plusieurs pays, Alexa a tendance à favoriser les sites en anglais. Google Trends me paraît moins biaisé géographiquement parlant et donc plus approprié pour une comparaison multilingue.

Articles sur le même sujet :

Toprural dans Le Journal du Net

novembre 14, 2008

Un excellent article de Baptiste Rubat du Mérac, à propos de Toprural, est paru hier soir dans Le Journal du Net:
TopRural : le tourisme « vert » à l’abri de la crise ?

toprural-le-journal-du-net
Même si 85% de notre chiffre d’affaires provient encore de l’Espagne (3 millions en Espagne pour un chiffre d’affaires total de 3,5 millions en 2008), nos efforts et nos investissements en France depuis 2005 commencent à se voir récompensés.

Autres articles sur Toprural: Toprural dans les médias